Extrait d'une partie du Rapport fait sur les nouvelles lunettes isoscentriques de l'ingénieur Chevallier.

  • Académie des sciences (France)
Date:
[1827]
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Credit: Extrait d'une partie du Rapport fait sur les nouvelles lunettes isoscentriques de l'ingénieur Chevallier. Source: Wellcome Collection.

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    Ac ft'ïiÇ (v\< & f ç $ i\j ( .Ç S . PfVvT^a o<k3/2> . FONDATION DE L’ETABLISSEMENT PAR SA FAMILLE, T I ; i.. en 1740. A SUCCÉDÉ EN 1796- EXPOSITION DES PRODUITS DE L’INDUSTRIE FRANÇAISE AU LOUVRE. SCIENCES ET ARTS. - EXTRAIT . * « Hr.j ! • f jJuu ; ' J f D’une partie du Rapport fait sur les nouvelles Lunettes Isoscen- triques de l’Ingénieur CHE'v ALLIER (leChev .), Opticien du Roi, membre de l’ancienne Société royale académique des Sciences, de l’Académie royale des Sciences de Metz, de l’Académie des Sciences d’Amiens, etc., auteur du Conservateur de la Vue, de l’Essai sur l’Art de l’Ingénieur, etc., Tour de l’Horloge du Palais, N°. i, vis-à-vis le Marché aux Fleurs. La Société royale académique des Sciences avait nommé parmi ses membres une Commission composée de MM. Doussin-Dubreuil, docteur-méde¬ cin • Nauche, médecin-consultant de l’Institut royal des Jeunes Aveugles, et le chevalier Eegnier , pour Lui foire un rapport sur les Lunettes Isoscentnques de leur confrère M. l’Ingénieur Chevallier : nous ne citerons ici qu’une partie de leur Rapport, attendu que les autres parties sont sans intérêt pour le public, puisqu’elles ne contiennent que des détails sur la construction de ces Lunettes. « Une des grandes difficultés, qui s’est toujours présentée, c’est de trouver „ des verres qui ne fatiguent point la vue et n’augmentent point sa faiblesse; » difficulté qui prend sa source dans le choix de la matière, qui quelquefois » est mise en usage sans avoir été purgée des corps étrangers propres à en „ altérer la transparence. Il est des verres laiteux et remplis de bouillons, que „ l’inexpérience ne craint point d’employer, parce qu’elle sait peu en apprécier ” *1 Tels sont, Messieurs, les motifs qui ont déterminé notre confrère Chevallier » à fixer son attention sur cette partie intéressante de son art ; nous nous » sommes convaincus par nous-mêmes qu’il a réellement atteint le but qu il „ s’était proposé, celui de fabriquer des verres qui aient une homogénéité par- „ faite •• aussi nous avons trouvé que les Lunettes qu’il nous a fourmes étaient v bien supérieures à toutes celles dont nous nous sommes servis jusqu ici ; nous „ pouvons, avec elles, lire ou écrire autant de temps que nous avons besoin, » sans que notre vue s’en trouve fotiguée, etc., etc. » Après avoir entendu le rapport, la Société, voulant donner à M. Chevallier M’ ** {«««ri