Lettre ... à M. le comte de C***. [Copie de la requete à nosseigneurs nosseigneurs [sic] de Parlement en la Grand' Chambre.] / [Franz Anton Mesmer].

  • Mesmer, Franz Anton, 1734-1815
Date:
[1784]
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Credit: Lettre ... à M. le comte de C***. [Copie de la requete à nosseigneurs nosseigneurs [sic] de Parlement en la Grand' Chambre.] / [Franz Anton Mesmer]. Source: Wellcome Collection.

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    publiquement proteHé contre les indu(9:ions défavorables à fa Dodrine, qu’on pourroit tirer de la conduite Sz des difcours du fleur Dcflon, a eu lieu en 1783. Un partifan du fleur Deflon s’éranr permis à cette époque de faire in- férer dans le Journal de Paris, une lettre dans laquelle il s’efForçoit d’affimiler le fleur Dcflon au Suppliant, & de perfuader que l’enfemble de connoiflTanccs fur le Magnétifme animal , étoit le même chez l’un & chez l’autre ^ le Sup- pliant répliqua par une lettre imprimée dans le même Journal, le 13 Décembre 1783, où il s’attache à tracer entre le fleur Deflon & lui, une ligne de démarcation fl invariablement déterminée, qu’il ne fût plus poflîble déformais de les confondre. Enfin J la troifieme circonftance où le Suppliant a renou- vellé fa proteftation, efl: relative aux CommiflTaires dont le Rapport vient d’étre publié. Ayant appris que, fans égard pour les Loix protcélrices de la propriété , fur la demande du fleur Deflon , folemnellement inculpé par lui, il ^voit été nommé des CommifiTaires pour aller examiner dans les traitemens du fleur Deflon , les avantages & les défavan- tages de la DoéJrine du Magnétifme animal, le Suppliant a écrit au mois de Juin de la préfente année 1784, à M. Franklin premier Commiflaire, & lui a repréfenté, dans les termes les plus énergiques, combien il étoit non feule- ment injufte, mais abfurde d’aller former chez un homme qu’il défavouoit, l’opinion qu’il falloit avoir d’une DoéJrine dont il efl: l’Auteur : & attendu l’importance de cette Doûrine, appellant du Jugement de la Commifllon, quel qu’il fût, au tribunal de l’Europe entière , le Suppliant, dans cette même lettre, n’a pas difflmulé les conféquences,