Les calculs de l'urèthre chez l'homme : thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier le 21 janvier 1902 / par Ivan Spiridonoff.

  • Spiridonoff, Ivan, 1877-
Date:
1902
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Credit: Les calculs de l'urèthre chez l'homme : thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier le 21 janvier 1902 / par Ivan Spiridonoff. Source: Wellcome Collection.

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    Enfin, dans le troisième chapitre, nous ferons l’étude du trai- tement des calculs de l’uréthre. Mais avant d’aborder notre sujet nous tenons à exprimer toute notre reconnaissance à nos maîtres, qui ont dirigé nos études soit dans les hôpitaux, soit à la Faculté. M. le professeur Tédenat a bien voulu accepter la présidence de notre thèse, nous le remercions vivement de l’honneur qu’il nous fait aujourd'hui, comme de la bienveillance qu’il nous a toujours manifestée. C’est à lui que nous devons les si intéres- santes observations qui font les bases de notre thèse. L’idée première de notre sujet nous a été donnée par M. le pro- fesseur agrégé Imbert, qui nous a marqué à maintes reprises sa bienveillance, nous a communiqué quelques-unes de nos observations et nous a aidé de ses précieux conseils. Nous som- mes heureux de l’assurer de notre reconnaissance. Que M. le professeur Gilis veuille bien recevoir l’hommage de notre reconnaissance pour les précieuses leçons qu’il nous a prodiguées. Nous ne saurions omettre les noms de MM. les professeurs agrégés Brousse, De Rouville, Valois et Jeanbrau qui, chacun tour à tour, nous ont enseigné d’une si docte façon les diverses parties de l’art médical et nous ont toujours témoigné la plus grande sympathie. Nous garderons d’eux le meilleur souvenir, et les prions de vouloir bien accepter l’expression de notre sin- cère reconnaissance. M. le Dr Soubeyran, chef de clinique chirurgicale, voudra bien recevoir nos meilleurs remerciements pour l’amabilité qu’il nous a toujours témoignée et pour les renseignements qu’il a bien voulu nous fournir. Nous nous souviendrons toujours de l’accueil que nous avons trouvé en France, et de ce grand peuple dont nous emportons le meilleur souvenir.