Congrès Périodique International d'Ophthalmologie : compte-rendu comprenant les procès-verbaux des séances, les mémoires lus ou déposés, etc. 3e session, 2e congrès de Paris 12, 13 et 14 aout 1867 / rédigés ... par le Dr. Warlomont.

  • International Congress of Ophthalmology (3rd :, 1867 : Paris France)
Date:
1868
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Credit: Congrès Périodique International d'Ophthalmologie : compte-rendu comprenant les procès-verbaux des séances, les mémoires lus ou déposés, etc. 3e session, 2e congrès de Paris 12, 13 et 14 aout 1867 / rédigés ... par le Dr. Warlomont. Source: Wellcome Collection.

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    4° Georges Tramonle, cle Sl-Christine, fermier; héméralope lannée précédente; son état s’améliora à la clinique, sous l’influence de la quinine, il ne fut guéri complètement que par son retour dans sa patrie. Nouvelle héméralopie en décembre 1866; entre à la clinique en février 1867. Guéri à la seconde séance de faradisation. 5° Jos. Sanlorio, de Palerme, 56 ans; cocher, héméralope depuis vingt jours. Guéri en quatre jours. 6° Anne di Falco, de Palerme; héméralope depuis quinze jours. Guérie en quatre jours. 7° Jean Brucato, de Parco, 50 ans; tonnelier; hypertrophie de la rate et héméralopie. Même état après huit séances. J’ai eu un cas de guérison de strabisme convergent par cause rhuma. tismale, chez un juge, après 24 séances; les nerfs périphériques avaient été frappés par le rhumatisme; je crois que la cause du mal explique la guérison. La faradisation m’a aussi donné des résultats satisfaisants dans la névralgie sus-orbitaire. En avril 1866, après huit séances, j’avais obtenu une amélioration sensible chez Stefano de Terrasini, atteint d’asthénopie accommoda- tive. Le traitement ne put être continué, parce que le malade fut rappelé dans sa patrie. Depuis, j’ai encore guéri parfaitement, en douze séances, deux autres cas semblables. En résumé, l’électro-thérapie oculaire mérite d’être étudiée; je suis sur qu’on en retirera d’immenses avantages dans les maladies où l’élé- ment nerveux entre en jeu. L’ordre du jour étant épuisé, M. deGraefe, président, prend la parole : Messieurs , Nous voici parvenus au terme de nos travaux. Il ne me reste plus d’autre devoir à remplir que celui de clore cette session, en me félicitant avec vous de ses résultats, et en manifestant la conviction quelle ne sera point inutile au développement ultérieur d’une science à laquelle nous avons tous voué notre existence. Si nous devons regretter l’absence de quelques-uns et des plus