L'adénopathie trachéo-bronchique chez l'enfant : recherches cliniques et radiologiques : thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier le 24 juillet 1913 / par Paul Pradal.

  • Pradal, Paul, 1888-
Date:
1913
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Credit: L'adénopathie trachéo-bronchique chez l'enfant : recherches cliniques et radiologiques : thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier le 24 juillet 1913 / par Paul Pradal. Source: Wellcome Collection.

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    n parler que des recherches postérieures à ses travaux. Ces recherches sont relativement peu nombreuses et ne groupent guère que quelques noms. Parmi eux, nous trouvons d’Espine, Smith, Variot, Guinon, Barret et Bou- garel, qui complètent peu à peu la symptomatologie. A ces noms, on peut ajouter ceux de Marfan, Barbier, Veau et Aviraguet, qui, au cours de travaux faits sur l’hypertrophie du thymus, sont naiurellement amenés à tracer, aussi exacte- ment que possible, les frontières de la pathologie du thymus et des ganglions trachéo-bronchiques. Volontairement, et bien que certaines de ses publications soient antérieures à celles des auteurs précités, nous citons M. d’Œlsnitz en dernier lieu. Car, tout comme M. Baréty en 1875, il a, semble-t-il, bien synthétisé la question à l’heure actuelle. Non content, en effet, de nous donner une description clinique aussi exacte que possible de l’adénopathie trachéo- bronchique, il s’est appliqué à enrichir la symptomatologie de cette affection, de façon à permettre un diagnostic plus précoce et, partant de là, bien souvent un pronostic plus bénin. Il s’est efforcé, én un mot, de faire entrer dans le domaine pratique un sujet qui, pour beaucoup, est encore une pure vue de l’esprit. Il est enfin de ceux qui, avec Ferrand et Châtelain, Variot, Bourgarel et Barret, Jossuand et Roux, Jacques, Mézeretti, etc., ont pensé qu’ici encore la clinique devait être complétée, confirmée par la radiologie. Et, en effet, comment ne pas être frappé par l’utilité d’une telle méthode ? Evidemment, un clinicien comme Baréty parvenait à dépister une adénopathie trachéo-bronchique uniquement par les seules ressources de l’auscultation et de la percussion. Mais, outre qu’un tel examen approfondi n’est pas toujours possible dans une clientèle de consultation, il - est, de plus, fort difficile, pour ne pas dire impossible, à