Phytozoologie philosophique : dans laquelle on démontre comment le nombre des genres & des espèces, concernant les animaux & les végétaux, a été limité & fixé par la nature; avec les moyens de donner l'histoire la plus complette & la plus parfaite de ces corps organisés différens, selon la decouverte du systême naturel / par Noel Joseph de Necker.

  • Necker, Natalis Joseph de, 1729-1793.
Date:
1790
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Credit: Phytozoologie philosophique : dans laquelle on démontre comment le nombre des genres & des espèces, concernant les animaux & les végétaux, a été limité & fixé par la nature; avec les moyens de donner l'histoire la plus complette & la plus parfaite de ces corps organisés différens, selon la decouverte du systême naturel / par Noel Joseph de Necker. Source: Wellcome Collection.

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    de M. de Necker. If n doit voir à cette occasion les Mémoires cri¬ ques & littéraires , pour fervir à i’hiltoir© t la médecine, par M. Goulim Hiftoire naturelle du Tuffilage & du Pétafite> V. , fans figures. Ce mémoire inféré dans Les a clés iyjiques de l'Académie électorale des fclences de ianiieim , pour l'année 17 80, fait voir que les indi* dus dijjérens du Tujjïlage & du Pétafite , qu'on a mjours pris & qu’on prend encore mal-à-propos pour es efpeces , font au contraire des races très dijtincfes, ,'auteur de ce mémoire nous apprend qu'au moyen es procédés de M. Kolreuter, on peut découvrir ntre les races de chacune de ces deux efpeces 9 ille qui ef la plus ancienne , c'èft-à-dire, la mche de laquelle les races dont je viens de par« zr, font fuccejjiveinent dtfeendues. On aura peut-être remarqué dans et mémoire que. A. de Necker n’admet que deux efpeces compofées ; inji tout le fyfême des végétaux ne renferme , èlon cet auteur , qu’un nombre médiocre d'ejpeces .aturelles , comme on le voit par fes Elementa )0tanica auxquels font jointes des planches gravées lu burin. Ces planches font féparées parcequ'elles oncernent également deux autres ouvrages dont l fera parlé ci-après. Traité fur la mycitologie , ou^difeours fur .'origine des ^champignons en général 1 vol tz-8^ avec figures. Manheim , 17&3* Une longue ruite d’obfer rations , & des expériences multipliées fur les parties des végétaux , ont appris à Vauteur de cet ouvrage que les champignons tirent leur ori- fine du fyfinie fibreux des êtres organifés men¬ tionnés , après que ce même fyfême a été décom- lofé en élémetis fecondalres par les caufes rapportées dans cette mycitologie. Si donc les champignons n’ont abfolumentpoint Vor- tanifaùon , aucune partie extérieure ni intérieure femblabk aux végétaux , comme M. de Necker fe flatte de l'avoir démontré de la façon la plus