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Histoire de la médecine clinique depuis son origine jusqu'à nos jours, et Recherches importantes, sur l'existence, la nature et la communication des maladies syphilitiques dans les femmes enceintes, dans les enfans nouveaux-nés et dans les nourrices / par P.A.O. Mahon; Et manière de traiter les maladies syphilitiques dans les femmes enceintes, etc. ... par Louis Lamauve.

  • Mahon, P.-A.-O. (Paul-Augustin-Olivier), 1752-1801
Date:
1804
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Licence: Public Domain Mark

Credit: Histoire de la médecine clinique depuis son origine jusqu'à nos jours, et Recherches importantes, sur l'existence, la nature et la communication des maladies syphilitiques dans les femmes enceintes, dans les enfans nouveaux-nés et dans les nourrices / par P.A.O. Mahon; Et manière de traiter les maladies syphilitiques dans les femmes enceintes, etc. ... par Louis Lamauve. Source: Wellcome Collection.

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    CEBUT ENT EMO UN LE rS 1S dan- geéreux , en imprimant un mouvement tr Bler. Les secours extérieurs, quelquefo op Ml, ou un changement trop subit, apportaient souvent durafraichissement et de la souplesse. Hippocrate les avait recommandés en plu- sieurs occasions , ainsi que l’eau froide, dont Oelse faisait grand cas, Il y a donc plus d’ana- logie qu'on ne le croirait d'abord entrela ma- nière dont ces deux auteurs ont traité les fie wres aiguës : mais cela ne nous empêche pas” de convenir que Celse était bien inférieur at père de la médecine sur cet article. “A l’arucle des fièvres lentes, Celse pré- sente une idée fort singulière, dont on a fait depuis usage dans plus d’un cas. Il faut y dit- 11 ; employer ni médicament » Dirègle parti- culhièr: pour la nourriture ; mais travailler à faire changer la maladie d'espèce, c’est-à-dire, à la rendre plus vive et analogue aux fièvres aiguës, On parvient à ce but, en lavant le 2Orps avec l'eau froide, l'huile et le sel; ce ES qui cause des frissons, qui sont le commen- < cement d’un nouveau mouvement, parce qi ASS ont suivis d’une chaleur plus grande qui sa -æ éfmine enfin par un reläche. Cette méthode bpas nouvelle, ajoute notre auteur, elle t du à Petrou; mais toute grossière q’elle paraïsse , elle n’a pas laissé que de tirer des malades abandonnés par les meilleurs dis- H à