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Essai sur les maladies qui attaquent le plus communement les gens de mer ... On a joint quelques observations sur la méthode la plus sûre de secourir les noyés, et de traiter les fièvres de l'Isle Saint-Domingue et des autres colonies françoises aux Antilles / Par G. M[auran] Maître ès Arts et en Chirurgie.

  • Mauran, G
Date:
1766
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Licence: Public Domain Mark

Credit: Essai sur les maladies qui attaquent le plus communement les gens de mer ... On a joint quelques observations sur la méthode la plus sûre de secourir les noyés, et de traiter les fièvres de l'Isle Saint-Domingue et des autres colonies françoises aux Antilles / Par G. M[auran] Maître ès Arts et en Chirurgie. Source: Wellcome Collection.

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    ment auparavant étoient fi gais, fi difpos, fi bien portans, font renverfes pêle- mêle fur le Tillac, ou couches {ous les Ponts; ils font de uns & les autres des ADR extraordinaires pour vomir : als n'ont pas plutôt inangé un morceau ou bu quelque peu de liqueur, que le vomillement recommence & devient plus vio- lent. Il n’en eft aucun qui ne fouhai- tât dans cet inftant de retourner au Port, & qui ne donnît volon- tiers tous les tréfors du Perou, s'ils étoient en fon pouvoir , pour qu'on le rapportit dans l'endroit d’où il nc fait que de partir. | A lPafpect d’un tableau fi effrayant, qui voudra déformais aller fur mer? Qu'on fe raflure cependant, tous les nouveaux Embarqués ne font pas auffi malheureux : il y en a qui dans leur vomillement ont certains intervalles de relâche ; d’autres ne - vomiflent que quand le vent eft frais, & qu'il y a de la tourmente dans le Vaileau ;. quelques-uns plus