Thèse pour le doctorat en médecine : présentée et soutenue le 25 août 1838, / par J.-F. Pereira, de Favaios (Portugal). I. Du diagnostic et du pronostic de l'endurcissement du tissu cellulaire chez les nouveau-nés. ... [etc].

  • Pereira, J.-F.
Date:
1838
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Credit: Thèse pour le doctorat en médecine : présentée et soutenue le 25 août 1838, / par J.-F. Pereira, de Favaios (Portugal). I. Du diagnostic et du pronostic de l'endurcissement du tissu cellulaire chez les nouveau-nés. ... [etc]. Source: Wellcome Collection.

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    •espèce, qni n’ont de commun que d’appartenir à un mênaeos, maïs qui «ont dÜTércntes par pi csqiie tous les autres points de leur étude. Les signes des fractures du j)éroné dans scs trois quarts supé- rieurs, sont, en général, obscursj menac il peut arriver que la lésion soit méconnue; les muscles peromers latéraux en dehors, les exten- seurs des orteils et du gros orteil en avant, le soléaire, le long fléchis- seur du gros orteil en arrière, forment sur cet os, avec les téguments communs, des couches épaisses qui 1 envelop>pcnt, et empêchent l’exercice complet du toucher, qui est le signe le plus utile pour re- connaître les fractures. Il est difficile de sentir les inégalités et la cré- pitation, à plus forte raison nepeut-on entendre celle-ci; la difformité n’est guère visible, et du reste elle ne peut se produire prononcée, ainsique la mobilité, en raison de l’union serrée du péroné avec le tibia, qui remplit l’office d'une atelle pour l’os fracturé. Dupuytren (^/Jnnuaire mécUco-chinirglcal des hôpitaux^ t. I, p. 40) a dit que ces fractures, qui dans quelques cas même n’empéchent pas les malades de pi*cndre un point d’appui sur le pied, ne sauraient être re- connues, le plus souvent, qu’à laide de circonstances commémoratives jointes à l’existence d’une ecchymose et d’une douleur plus ou moins forte à l’endroit frappé, d’une inégalité plus ou moins sensible aux doigts sur le corps du péroné, d’une mobilité et d’une crépitation plus ou moins distinctes. Cependant la fracture peut devenir entièrement reconnaissable par les commémoratifs, comprenant la connaissance d’une violence qui s’est exercée directement sur un point de l’os, et celle de la force présumée ou bien appréciée du coup, comparée à la résistance possible du pé- roné; la position de celui-ci comparée à la direction du corps vulné- rant, et au lieu sur lequel il a pu agir: la douleur, le gonflement, la difficulté ou l’impossibilité de la marche , l’ecchymose , et, non con- stamment, l’existence d’une inégalité, de la difformité, de la mobilité des fragments, et de la crépitation, tels sont les signes de cette frac- ture au-dessus des trois derniers pouces, signes encore d’autant moins 1838. - K® 308. 5