Du microscope et des injections : dans leurs applications à l'anatomie et à la pathologie, suivi d'une classification des sciences fondamentales, de celle de la biologie et de l'anatomie en particulier / parCh. Robin ; avec 23 figures en intercalées dans le texte et 4 planches gravées.

  • Robin, Ch.
Date:
1849
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Credit: Du microscope et des injections : dans leurs applications à l'anatomie et à la pathologie, suivi d'une classification des sciences fondamentales, de celle de la biologie et de l'anatomie en particulier / parCh. Robin ; avec 23 figures en intercalées dans le texte et 4 planches gravées. Source: Wellcome Collection.

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    ganiijue. (^e dernier el immense parallèle ralionnel, inslilué entre lous les lermes de la série organique, offrant une longue suile de cas variés et pourlanl analogues, donne à la méthode comparative son plus admirable développemenl. L'un et l'autre de ces modes de comparaison , envisagés sagement, en dehors d'une précision à la fois trop minulieuse et puérile, se prê- tent un mutuel appui, se complètent l'un et l'autre; ils ne peuvent être suppléés par rien et ne peuvent être négligés sans que toute conception physiologique s'en ressente profondément. § IV, Les trois premières de ces cinq branches de l'anatomie constituent l'analomie générale , savoir : 1° l'histoire des éléments analomiques, 2° celle des tissus ou histologie, el 5 celle des systèmes. Voyons comment chacune de ces branches doil, de nos jours, êlre envisagée dans un traité d'anatoniie générale. La première d'entre elles, la moins étudiée jusqu'à pré- sent, doit surtout atlirer notre attention. Tout ce qui entre dans la constitution des corps or- ganisés, tout ce qui concourt à les former et à les ren- dre aptes à reiuplir les fonctions que nous observons en eux, est du ressort de l'anatomie. Or, que trouvons-nous dans le corps des êtres orga- nisés, des animaux qui doivent nous occuper ici plus particulièrement ? Ce sont, d'une part, des gaz, comme l'oxigène, l'a- zote, l'acide carbonique, etc., qui ordinairement sont à l'état de dissolution dans les liquides de l'économie. D'autre part, ce sont des liquides de natures très di- verses. Les uns, les plus nombreux, sont aqueux, c'est- à-dire séreux^ muqueux; les autres sont graisseux ou