L'héliothérapie : thèse présentée et publiquement soutenue devant la Faculté de médecine de Montpellier le 22 juillet 1913 / par A. Aimes.

  • Aimes, A. (Alexandre), 1888-1970.
Date:
1913
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Credit: L'héliothérapie : thèse présentée et publiquement soutenue devant la Faculté de médecine de Montpellier le 22 juillet 1913 / par A. Aimes. Source: Wellcome Collection.

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    procédés les pins efficaces parmi ceux anciemiemeiit em- ployés, sont ceux dont le pouvoir antiseptique est nul on douteux (scarincations, galvanopunctu-re,électrolyse). L’a- blation chirurgicale, la cautérisation chimique présentant des garanties d’asepsie locale, sont, au contraire, assez souvent suivies de récidives. Il conclut que la lumière possède en outre une action irritative qui, par sa repro- duction, produit la sclérose curatrice. Darbois, dans son étude sur le traitement du lupus, classe ceux-ci en : a) Petits lupus dans lesquels le traitement par la lu- mière donne d’excellents résultats, quoiciue la cure soit plus longue que par l’excision chirurgicale. b) Lupus moyens qui sont le triomphe de la photothé- rapie par laquelle on obtient de bonnes cicatrices. c) Lupus étendus dans lesc|uels il conseille l’excision suivie de greffes. d) Grands lupus qu’il faut racler et soumettre à l’in- fluence de la lumière. Les observations du professeur Vedel nous montrent que les lupus, même étendus, peuvent se cicatriser sous l’influence de l’héliothérapie, il faudra donc toujours com- mencer par ce mode de traitement. Les gommes tuberculeuses sont également bien guéries par l’héliothérai)ie, qu’il s’agisse de gommes non fistu- Usées ou de gommes ulcérées. Ici, dit De Quervain, le traitement chirurgical est sou- vent incomplet. Ce sont des cas justiciables avant tout de 1 ’héliothérapie. Les gommes tuberculeuses, en effet, sont souvent mul- tiples ou associées à d’autres manifestations de la tnber