Les recherches sur les lésions et le parasite de l'actinomycose : thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier le 28 juillet 1906 / par Alexandrine Smirnoff.

  • Smirnoff, Alexandrine, 1880-
Date:
1906
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Credit: Les recherches sur les lésions et le parasite de l'actinomycose : thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier le 28 juillet 1906 / par Alexandrine Smirnoff. Source: Wellcome Collection.

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    * nous ne pouvons pas accepter I opinion de Partsch pour lequel : a le parasite est trop volumineux pour pénétrer dans les vaisseaux lymphatiques ». Nous avons observé des formes parasitaires dépassant à peine le volume d un lin microcoque. Nous discuterons plus loin les causes qui nous semblent être plus plausibles de ce fait. La constatation d’embolies parasitaires dans les organes, dans le cas de généralisation, font considérer par certains auteurs la voie sanguine comme mode de propagation de champignon (Bollinger, Illich, Silberschmidt, Plique, Schlanee, Mar- chand et Nibelthan, Massé et Israël, Abée). La propagation se ferait surtout par l’ouverture de gros troncs vasculaires englobés et peu à peu détruits par la tumeur. Tout récemment, Hesse a défendu la théorie de la trans- < ' mission extra-cellulaire du parasite. PourTusini, la formation des Zones hémorragiques et des larges zones de ramollissement ouvre une voie à la propa-q gation des grains. Pour discuter cette question, il nous semble indispensable! d’examiner la progression du nodule dans ces diverses zonesij de développement, comme elle est décrite par M. le profes-jl seur Bosc: lorsqu’on examine la périphérie d’un nodule, onH voit que sa progression périphérique se fait aux dépens des» espaces interstitiels du derme; les cellules de nouvelle for-ja mation élargissent ces espaces, dissocient de plus en plus les*I faisceaux dermiques et se substituent progressivement à ces derniers. Mais l’infection ne se fait seulement pas par conti gui té ; il peut se former des nodules disséminés à une distance plus ou moins grande des nodules en évolution et en rela tion avec ces derniers par des traînées d’infiltration celln laire larges ou à peine marquées et dont la direction esf celle des capillaires sanguins. Nous avons déjà montré, ei| elfet, que des nodules peuvent communiquer avec un peti| y'--.