Recherches nouvelles et observations pratiques sur le croup et sur la coqueluche : suivies de considérations sur plusieurs maladies de la poitrine et du conduit de la respiration dans l'enfance et dans la jeunesse.

  • Guibert, François Théodore.
Date:
1824
Catalogue details

Licence: Public Domain Mark

Credit: Recherches nouvelles et observations pratiques sur le croup et sur la coqueluche : suivies de considérations sur plusieurs maladies de la poitrine et du conduit de la respiration dans l'enfance et dans la jeunesse. Source: Wellcome Collection.

Provider: This material has been provided by the Harvey Cushing/John Hay Whitney Medical Library at Yale University, through the Medical Heritage Library. The original may be consulted at the Harvey Cushing/John Hay Whitney Medical Library at Yale University.

    13/344
    gine croiipale. Après avoir fait d'une manière succincte, mais cependant aussi étendue qu'il m'a été possible , son histoire médicale , et avoir indiqué la théorie de sa formation , je passe au traitement qui lui est applicable, et j'examine avec quelques détails les diverses mé- thodes curatives qui ont été employées jusqu'à ce jour pour la combattre. J'ajoute à la suite du traitement les observations les plus inté- ressantes que j'ai faites sur le croup , et je pré- sente q'.ielques réflexions sur chacune d'elles. Je fmis par une conclusion dans laquelle j'ex- pose, sous forme de corollaires, les caractères principaux de l'angine croupale , et la méthode de traitement mixte qui me semble devoir être employée de préférence dans cette affection. La deuxième partie est consacrée à la coque- luche. Je suis pour cette maladie le même ordre que pour le croup, et je rapporte égale- ment à la suite du traitement un certain nom- bre d'observations qui me sont propres. Enfin la dernière partie se compose de consi- dérations détachées sur plusieurs affections des organes de la voix et de la respiration dans l'en- manquer à la reconnaissance que je dois aux bons avis de M. Aau- che, médecin-consultant de l'institution royale des jeunes aveu- gles , et à ceux de mon ami le docteur Moulin , chirurgien en chef, du 4*^ disriensaire, si je ne rappelais les nombreux succès qu'ils ob- tiennent tous les jours dans le tiaitement des maladies du jeune âge.