Catalogue de documents concernant l'histoire de la médicine à Troyes, appartenant à la bibliothèque de cette ville et provenant du cabinet de Françoi Carteron / par Léon Pigeotte.

  • Carteron, François.
Date:
1869
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Credit: Catalogue de documents concernant l'histoire de la médicine à Troyes, appartenant à la bibliothèque de cette ville et provenant du cabinet de Françoi Carteron / par Léon Pigeotte. Source: Wellcome Collection.

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    loueur de chevaux à Troves contre le collège des médecins, pour raison d’un cheval qui se serait trouvé forbu au retour d’un voyage t'ait à Paris au cours des contestations soulevées parles médecins de Troves contre les chirurgiens de cette ville. 9. — 1644, 11 décembre. Accord entre les médecins du collège deTroyes pour emprunter à constitution de rente 1.200 livres pour subvenir aux frais du procès sui\i par eux contre les chirurgiens de Troves. Expédition notariée, 2 feuilles in-folio. 10. — 1644, 13 décembre. Déclaration de l’emploi des 1,200 livres. Le prix du cheval forbu y figure pour 150 livres. Manuscrit, 2 feuilles in-folio. Il, 12. — 1652, 4 mai. Arrêt de la cour du Parlement dans l’instance à la requête de la communauté des médecins de Troves contre Nicolas Bailly, maître barbier-chirurgien, se disant bachelier et chirurgien de longue robe. Suivi de l’arrêt ci-après énoncé : 1652, 5 août. Arrêt du grand Conseil, rendu a Mantes, contre Nicolas Bailly, chirurgien, par lequel défense lui est faite de ne porter autre habit, ni avoir d’autre enseigne, ni faire autre fonction que de barbier chirurgien (1). Imprimé sans nom de lieu ni date; 8 pages in-4°. Ensuite de cet exemplaire se trouvent diverses notes manuscrites sur cette instance et sur d’autres suivies a Paris, et un renvoi aux lettres de Guy Patin. 13. — 1653, 30 décembre. Arrêt du conseil privé du roi dans la dite instance, qui déclare les chirurgiens de longue robe de l’université de Paris mal fondés (1) Cette instance est rappelée page 11 de l’intéressant mémoire rédigé en 1761. dans l’affaire Piers, et ci-après catalogué. On y énonce comme grief à la charge de Bailly les remèdes qu'il administrait pour endormir gracieusement les malades opérés et apaiser la sensibilité de la douleur.