Rapport des Commissaires de la Société Royale de Médecine, sur le mal rouge de Cayenne ou Éléphantiasis.

  • Société royale de médecine (France)
Date:
1785
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Credit: Rapport des Commissaires de la Société Royale de Médecine, sur le mal rouge de Cayenne ou Éléphantiasis. Source: Wellcome Collection.

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    Les fièvres aiguës infîammatoîres ou putrides , exigent ies antîphlogiftiques Se les antiputrides qui néceffiîent l'in- terruption du traitement de ia maladie pri- mitive , jufqu'à ce que ies maladies inci- dentes foient terminées. On doit éviter Tufage des forts acides, parce qu'iîs nuifent au vice Lépreux. Si ies fièvres putrides font d'efpèce maiigne, on ne tardera point à empioyer ies antifeptiques ies piuspuiffans, teîs que le Quinquina & fon extrait tem- pérés par une ampie boiffon délayante fe'J. Il faut craindre, ce qui arrive fouvent, que par une marciie rapide , ces fièvres ne pré- viennent ia vigiiance du Médecin, Sl que fous l'apparence trompeufe d'un danger médiocre , elies ne faflent perdre l'occafion de fecourir ies maiades. Ce doit être, fuivant M. Scliiiiing, une régie générale d'abandonner pour un temps la maiadie primitive, comme fi eiie n'exifloit ,point , pour traiter cliaque maiadie fecondaire feion