Mon journal de l'an 1807, ou voilà les gens du 18me siècle. De la vaccine, etc. etc / seconde édition, revue, corrigée et augmentée; à la fin de laquelle on a joint la réfutation des trois derniers ouvrages anglais [by W. Rowley, B. Moseley and R.. Squirrell], traduits en français [by G.B. Depping] en 1807, contre la découverte de Jenner. Quelques réflexions sur l'éducation, suivies d'une lettre de J.J. [Rousseau] sur le même sujet, et d'une lettre au Gastronome. Par M. Parfait.

  • Parfait, J.
Date:
1808
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Credit: Mon journal de l'an 1807, ou voilà les gens du 18me siècle. De la vaccine, etc. etc / seconde édition, revue, corrigée et augmentée; à la fin de laquelle on a joint la réfutation des trois derniers ouvrages anglais [by W. Rowley, B. Moseley and R.. Squirrell], traduits en français [by G.B. Depping] en 1807, contre la découverte de Jenner. Quelques réflexions sur l'éducation, suivies d'une lettre de J.J. [Rousseau] sur le même sujet, et d'une lettre au Gastronome. Par M. Parfait. Source: Wellcome Collection.

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    sans pour cela toutefois être inconsidérés : ils combattent les préjugés dangereux à la so- ciétéj ils les attaquent par-tout où ils les ren- contrent, ils rendent néanmoins justice à qui de droit; ils n’ont garde non plus de croire qu’ils peuvent combler la profonde ornière des préjugés dans laquelle tant de gens se plaisent à se vautrer. Ceux qui donnent leur opinion à cet égard, ne pensent pas plus d’ailleurs corriger l’as- tucieuse adresse des effrontés et infatigable» intrigans; ils sont incorrigibles, qu’on ne s’y trompe pas, ils sont comme les louches, ils regardent d’un côté et visent de l’autre : ils ressemblent aux petits renards que l’on veut apprivoiser , ils sont de francs hy- pocrites, et, comme le premier de leurs pères, ils aimeront toujours les poules. Oui, je suis persuadé que le renard qui fut placé dans l’arche, visait, cherchait, en y entrant, le coté où étaient les poules. Les hommes dont nous parlons ressem- blent beaucoup aux faiseurs de tours de gi- becière; ils vous fixent les yeux, ils vous dirigent la pensée vers un objet imaginaire, auquel ils parlent comme s’il était présent, et pendant ce tems-là ils font leur aiiaire*.