An historical survey of the French colony in the Island of St. Domingo: comprehending a short account of its ancient government, political state, population, productions, and exports; a narrative of the calamities which have desolated the country ever since the year 1789 and a detail of the military transactions of the British Army in that island to the end of 1794 / By Bryan Edwards.

  • Edwards, Bryan, 1743-1800.
Date:
1797
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Licence: Public Domain Mark

Credit: An historical survey of the French colony in the Island of St. Domingo: comprehending a short account of its ancient government, political state, population, productions, and exports; a narrative of the calamities which have desolated the country ever since the year 1789 and a detail of the military transactions of the British Army in that island to the end of 1794 / By Bryan Edwards. Source: Wellcome Collection.

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    Page 149, JDuvah pcrrut point, car il navait pas memo pu assembler 50 hommes, Les forces de Ve^ineml se trouverent plus considerables qiion ne Vavalt represente & le courage de nos troupes fut Inutile contre la superio7'ite du nombre ; elles furent obligees de se retlrer aruec uneperte de 20 hommes tues ou hlessh, J’ai les preuves les plus certalnes que Duval se rendit an poste convenu, mars que le vent ne nous permit pas d’entendre le signal prescrit. Toute I’armee Anglaise salt que je n^ai pas quitte un seul moment le commandant de Texpe- ditlon qui, ne parlant pas Franqais^ avalt ma piomesse de ne pas m’eloigner de lui; ainsl je peux assurer que rien n’a ete ordonne, que rien ne s’est fait qui ne soit a ma connaissance. Je 7ie me stiis pas oblige, en vous repondant^ d’ecrire I’histoire de la Colonie, ni de tout ce qui s'y est passe depuis Tarrivee des- Anglais; on peut aisanent savoir s’il y a quelqu’un qui puisse en parler plus sciemment que moi: un jour viendra od tout sera connu; je me borne a assurer pour ce moment que Morin Duval, avec Jean Kina, se sont rendus au poste indique ; mais qu’une piece de canon que nous apperqumes de la mer, nous forqa d’aller faire notre debarquement a trois millcs du lieu convenu; que I’endroit etalt convert par la montagne,. que le debarquement, au lieu d’etre fait a sept ou huit heures du matin, ne put commencer que vers une heure apres midi, & qu’il manqua surtout par un evenement commun a la guerre, par I’arrivee d’un renfort de cavalerie qui parut sur le rivage, lorsque les canots de debarquement commencerent a s’eloigner des navires. Je n’ajouterai rien a present, le terns fera connaitre les details de toute cette affaire^ Aujourd’hui je me borne a dire que Morin Duval, ne nous ayant ni vu ni entendu, nous attendit dans une position tres-delicate, sans manger h sans boire jusques vers le soir, & qu’il ne rentra dans son camp, a plus de dix milles du poste qu’il avait occupe, que la nuit & tres-fatigue, & apres avoir couru leS risques d’etre attaque lui-meme» 2 \