A collection of papers which passed between the late learned Mr. Leibnitz and Dr. Clarke in the years 1715 and 1716 relating to the principles of natural philosophy and religion / [In French and English] With an appendix. To which are added letters to Dr. Clarke concerning liberty and necessity; from a gentleman of the University of Cambridge [J. Bulkeley]: with the Doctor's answers to them. Also remarks upon a book entituled A philosophical enquiry concerning human liberty [by A. Collins] By Samuel Clarke.

  • Clarke, Samuel, 1675-1729.
Date:
1717
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Credit: A collection of papers which passed between the late learned Mr. Leibnitz and Dr. Clarke in the years 1715 and 1716 relating to the principles of natural philosophy and religion / [In French and English] With an appendix. To which are added letters to Dr. Clarke concerning liberty and necessity; from a gentleman of the University of Cambridge [J. Bulkeley]: with the Doctor's answers to them. Also remarks upon a book entituled A philosophical enquiry concerning human liberty [by A. Collins] By Samuel Clarke. Source: Wellcome Collection.

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    i o.1 Je ne crois point qu'on me puijfe re¬ prendre avec raifon, d'avoir dit que Dieu eft Intelligentia fupramundana. Diront-ils qu'il eft intelligentia Mundana, c'efi à dire qu’il èft T Ame du Monde ? J' efpere q ue non. Cependant ils feront bien de Je garder d'y donner fans y pen fer. il. La Comparaifon d'un Roy, ou tout iroit fans qu'il s'en mêlât, ne vient point à propos -, puifque Lieu conferve toujours les chofes , & quelles ne fauroient fubfifter fans lui : Ainfi fon Royaume n'eft point no¬ minal. C'efi jufement comme fi l'on difoit, qu'un Roy qui auroit fi bien fait élever fes Sujets, (fi les maïnliendroit fi bien dans leur capacité & bonne volonté, par le foin qu'il auroit pris de leur fubfiftence, qu'il n auroit point befoin de les redrejfer ^ fer oit feulement un Roy de nom. 12. Enfin , fi Lieu eft obligé de corriger les chofes naturelles de temps en temps, il faut que cela fe faffe ou furnaturellement ou naturellement. Si cela fe fait furnatu¬ rellement, U faut recourir au Miracle pour expliquer les chofes naturelles ; ce qui eft en effeti une réduction d'un hypothefe ad abfur- dum.