Relation des épidémies du choléra-morbus observées en Hongrie, Moldavie, Gallicie, et à Vienne en Autriche, dans les années 1831 et 1832 : avec une histoire générale de cette maladie, et son traitement preservatif et curatif : avec des notes du Professeur Broussais / par le docteur Sophianopoulo.

  • Sophianopoulo, D.M.
Date:
1832
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Credit: Relation des épidémies du choléra-morbus observées en Hongrie, Moldavie, Gallicie, et à Vienne en Autriche, dans les années 1831 et 1832 : avec une histoire générale de cette maladie, et son traitement preservatif et curatif : avec des notes du Professeur Broussais / par le docteur Sophianopoulo. Source: Wellcome Collection.

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    *7 mais les,autres symptômes persistent, à cela près qu’il y a un peu de chaleur aux extrémités. Mort une heure après cette amélioration. Réflexions. — Est-ce la peur, la fatigue ou la contagion qui ont produit ce choléra? Ces trois cau.ses peuvent devenir efficientes ou détermi- nantes du choléra. Ce qu’il y a de remarquable, c’est que les moyen.s thérapeutiques ont été in- su ffisa ns (i). Quatrième observation. Le 22 août, à midi précis, le frère de cette malheureuse tombe frappé de choléra. La mère reste spectatrice de ce carnage affreux des siens, sans pouvoir trouver le temps de les faire en- terrer. Mon confrère m’invite à assister à ce der- nier malheur : je m’y refuse formellement, ayant e-» - » • » • de la répugnance à voir employer une autre fois un traitement pareil , quoique recommandé par de grands médecins. M. Bochus a rencontré, chez ce jeune homme de l’âge de dix-huit ans, un vomissement et une diarrhée continuels de matières analogues à celles rapportées plus haut, etc. Il a voulu essayer de nouveau le bismuth jusqu’à cinq grains chaque (i) De tels traitemens seront toujours non seulement insuffisans pour le traitement du cboléra, mais encore nuisibles. . ' ( Noie poitérieure de l’Auteur.)