Untersuchungen und beobachtungen auf dem gebiete der elektrotherapie / von Rudolf Brenner ... Vier abtheilungen in zwei bänden.

  • Brenner, Rudolf, 1821-1884.
Date:
1868-69
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Credit: Untersuchungen und beobachtungen auf dem gebiete der elektrotherapie / von Rudolf Brenner ... Vier abtheilungen in zwei bänden. Source: Wellcome Collection.

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    Und hier schliesst er nun in einer Anmerkung unter dem Text die erwähnte Beobaclitung an: „Cette suppositiou paroit confirmee par une experience assez curieuse. Si Ton Joint deux pieces, une de plomb. et l'autre d'argent, de sorte que lesdeuxbordsiassent un meme plan, et qu'on les appi-ocLe sur la langue, on en sentira quelque goüt, assez approchant au goüt du Vitriol de fer, pendant que cliaque piece k part ne donne aucune traee de ce goüt. II n'est pas probable, que par cette jonction des deux metaux, il arrive quelque Solution de Tun ou de l'autre, et que les particules dissectes s'insinuent dans la langue. II faut done conelure, que la jonction de ces metaux operc dans Tun ou l'autre ou dans tous les deux, une Vibration dans leurs particules, et que cette Vibration, qui doit nccessairement afl'ecter les nerfs de la langue,. y jiroduise le goüt mentionue. Offenbar hat Sulzee diese Beobachtung, welche die älteste galva- nische Erfahrung einschliesst, nur zufällig gemacht, legt auch selbst so wenig Werth darauf, dass er ihr nur in einer Anmerkung Platz gönnt. Sie unterliegt denn auch dem Schicksal unverstandener empirisch gefun- dener Thatsachen und geräth in Vergessenheit, bis sie Vcilta 1702 zum zweiten Male entdeckte, aber freilich in ganz anderer Weise; denn dieser suchte mit Ueberlegung am lebenden menschlichen Körper ein dem gal- vanischen Präparat in seiner Nacktheit, Reizbarkeit und Beweglichkeit ähnliches Glied, wobei er natürlich sofort auf den Gedanken kam, die Zunge zu benutzen. Sein Zweck war, Bewegungen hervorziu-nfen; statt dessen entdeckte er, dass auch die empfindenden Nerven dem neuen Pieiz zugänglich seien. Er selbst beschreibt in einem Briefe an Tlbebius Catallo * den Vor- gang folgendermaassen : „§ 47. Etant parvenu ä exciter des convulsions touiques, et les mouvemeuts les plus forts, dans les membres, neu seulement des petits, mais des grands aniniaux, Sans decouvrir aucun nerf, par la simple application des armures de difterents metaux aux niuscles denues des integuments, je pensai bien-töt si on ne ijourroit pas obtenir la meme chose dans l'homme. Je conrus que la chose reussiroit tres bien dans les membres amputes; mais dans l'liomme eutier et vivant comment faire V II auroit fallu aussi öter les integuments, faire des incisious profundes, empörter meme uue partie des chairs aux endroits sur lesquels on alloit appliquer les lames metalliques, (comme j'ai fait remarquer qu'il faut faire souvent aux parties cliarnues des grands animaux). Heureuseraent il nie vint dans la tete, que nous avons, dans la langue, un muscle nu, depourvu au moins des integuments epais dout sont couvertes les parties exterieures du Corps, un muscle qui est tres mobile, et mobile ä volonte. Voila donc, me disois-je, toutes les conditions requises, pour pouvoir y exciter de vifs mouvements par l'artifice ordinaire des armures differentes. Dans cette vue je fis, sur ma propre langue, l'ex- perience suivante. * Pltilosophical Transactions of the Royal Society of London. For tho year 1793, P. I, p. 10. Account of some JJiscoveries »lade liy Mr. Galvani of Bologna. With Experiments and obserrations on them. In two Lettres to Mr. Tiherius Cavallo F. R- S Second Lettre 5 47. — Collezione d<l opere del Caraliere Conte Alessandro folla^ Patricia C'omasco, memhreec. Firence, 1816, T. II, P. I, p. 158.