Hans Vlieghe, Corpus Rubenianum Ludwig Burchard, vol. VIII. Saints, 1972-1973, part 1, no. 95, pp. 147-148 and fig. 167 (the painting in Lille); no. 95a, pp. 148-149 and fig. 168 (the drawing in an unknown location copied by Lasne); no. 94, pp. 145-147 and fig. 165 (the painting in Sint-Antoniuskerk, Antwerp); and fig. 166 (an engraving by M. Lasne after that painting, with dedication to Octavius Pisanus). The present engraving is discussed by Vlieghe under no. 95a but not reproduced
Roger-Armand Weigert and Maxime Préaud, Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIe siècle, Bibliothèque nationale, tome VII, Paris, 1976, pp. 60-61 no. 83 ("Saint François de Paule recevant l’Enfant Jésus des mains de la Vierge, d’après P.P. Rubens. Le saint est à genoux devant la Vierge, à g., qui se penche pour lui remettre son précieux fardeau. Au bas, à g., vers le milieu: Th. Galle excud. Vers la dr.: P.P. Rubbens invenit. A dr., sur une pierre: M. L'Asne fe. 35,5 (avec la marge) x 22 cm. … Autre état, avec la lettre et des versets du Cantique des Cantiques, des Proverbes et du Psaume 72. D’après un tableau des élèves de Rubens, largement retouché par lui, au musée de Lille, provenant du musée des Capucins. Cela d’après Max Rooses, op. cit., t. 2 (1888), p. 252-253, pl. 144, lequel fait état d'une dédicace à "Octavio Pisani Jo. Antonii fîlio... par Th. Galle". Max Rooses ajoute : "Dans la gravure de Michel Lasne, le moine qui assiste a l'apparition a été omis, les anges sont traités plus explicitement. On voit, au-dessus de leur groupe, un écusson rayonnant, avec l’inscription Charitas. Cette inscription indique que le graveur, tout en reproduisant un tableau qui représente saint François d’Assise, a changé le saint personnage et en a fait un saint François de Paule. En effet, dans les estampes, cette inscription accompagne souvent les effigies de ce dernier saint. Le changement est d’ailleurs indiqué par l'omission des stigmates et pl (us explicitement par le titre de la gravure: S. Franciscus de Paula." Ce titre est absent de l'épr. cat., mais ce n’est pas cette composition, mais le "Saint François d’Assise recevant l'Enfant Jésus", toile de l’église Saint-Antoine à Anvers, qui présente la dédicace à Octavio Pisani.")