Contribution à l'étude du lupus chez l'enfant : à propos d'un cas localisé à l'avant-bras gauche et traité par les bains sulfureux et la liqueur de Van-Swieten : thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier le 25 novembre 1904 / par Charles Henry.

Henry, Charles, 1877-

Date:: 1904

Credit: Contribution à l'étude du lupus chez l'enfant : à propos d'un cas localisé à l'avant-bras gauche et traité par les bains sulfureux et la liqueur de Van-Swieten : thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier le 25 novembre 1904 / par Charles Henry. Source: Wellcome Collection.

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$la nature tube Juteuse de l'affection nous rend encore plus réservé sur ce traitement, qui expose aux auto-inoculations. On a essayé 1 autoplaslie, les greffes cutanées, pour parer à ces inconvénients, mais, cette méthode n’a de bons résul- tats que lorsqu’on peut attaquer le mal à son début, lorsque le placard est bien limité, et de petites dimensions. bâclage. Le raclage, par la simplicité de son manuel opératoire, est a la portée de tout praticien; en effet, il con- sisle à enlever, avec une curette tranchante, celle dé Volk- mann, par exemple, le placard lupique. Mais après Je ra- Oage, tout nesl pas Uni; il faut surveiller attentivement les parties qui bourgeonnent ; de plus, on arrive difficilement a atteindre et à détruire tout le tissu pathologique qui est profondément situé dans les anfractuosités'du derme; aussi esl-.l nécessaire de compléter les séances par des cautérisa- tions énergiques avec Je chlorure de zinc, ou le thermocau- le,e' Cest Ia 1111 l)r°cédé assez rapide, mais qui a l’incon- vénient d etre douloureux et d’exiger une anesthésie sinon generale, tout au moins locale. De plus, il expose aux auto- moculatiGns, et laisse le plus souvent des cicatrices diffor- mes. SmnlicaUons quadrillées. - Par ce moyen, on entrave ' apidemen.t l'extension du lupus. C'est la méthode de Vidal qui consiste à faire, avec la lame triangulaire, des scarifie»! ions rapprochées, mais assez profondes, pour pénétrer en- lierement dans le nodule. On obtient par ce procédé de belles cicatrices ne présentant ; ,.Sa| f’ 1,1 ^pressions, mais on n'arrive à la guérison que 'es enement, et d faut des séances fréquentes et parfois C -</ douloureuses, déterminant chaque fois une hemorra- rf'i', que on pourra cependant arrêter assez facilement par$