Thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier, le 12 février 1840 / par J.-G. Delhom.

  • Delhom, J.G.
Date:
1840
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Credit: Thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier, le 12 février 1840 / par J.-G. Delhom. Source: Wellcome Collection.

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    plan incliné, qn’on improvisera avec des chaises et des oreillers, comme il a été dit pour le lit de sangle. Barton dit qu’en Angleterre et en Amérique , la plupart des femmes se couchent sur le côté gauche , le siège près du bord droit de leur lit , les jambes et les cuisses fléchies, les genoux écartés par des oreillers (1). Les accoucheurs anglais prétendent que, dans cette po- sition, il est plus facile d’exercer le toucher, d’appli- quer le forceps et de soutenir le périnée. Nous croyons comme Velpeau , que cette position ne facilite au- cunement ces opérations. 6°. Quel est le moment où la femme doit se placer sur le lit de douleur ? on ne peut le préciser. En ef- fet, la différence des constitutions pourra faire avancer ou retarder ce moment. En général on permettra de se coucher à la femme qui en éprouve réellement le besoin, surtout après la rupture de la poche des eaux. Avaut cette rupture le décubitus est inutile , à moins qu’on n’ait à faire à une femme qui accouche très vite et presque sans douleur. Dans ce cas, elle doit se coucher de bonne heure, de crainte de voir l’enfant tomber à terre. Quand les douleurs sont faibles et éloignées , que l’orifice est peut dilaté et assex élevé au-dessus du détroit supérieur, il convient à la femme de promener ou de rester debout autant que possible. O