Le Iansenisme de la medecine / fait . par Mre I. Milhav D. M.

  • Milhaue, J., active 1660.
Date:
1660
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Credit: Le Iansenisme de la medecine / fait . par Mre I. Milhav D. M. Source: Wellcome Collection.

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    Icônes kommes, dont f tiï eff me trsaâtîîl âsrm fÿnæ» que (ans pourriture, l*amre d’vne iynocque pourrie s , de p'us io. ne propofe il pas la confulte qui fut fai&e- pour vn homme attaint de fieure imcrmircante, auquel ii donna des aliments au comœincerotnt de faccés, c$* tre l’oppinion des concrerenaas. Il pratique la me(m« chofe 11 â l’endroit d’vne femme , qui mouïeuû: d’y neIf* dfifk difficulté de refpirer par fuppreffiou de fes mois, par la méthode extrauagtue des Médecins aficmbles auec lujr, qui mefprifoint fes feotimens : nous liions la mefnae chofe 11. de l’cconome d’vn riche dans les fauxbourgs de fioaic, en danger d’aueugîement, pour lequel il eé- fuira aues vn Médecin de la fiédg d’Erafiftrate. il ne mr~ faut de plus i que lire ce qu'il nous à iailTé en diuers rAt* ff® autres lieux de fes ceuures dans iefquels' j! fait nvênon/* de aiuerfes côfultes faiéles auec ks Médecins,qui 1 u; mfm 17* efëoint coRtemporainSjquoyque de d uerfe fe€ie; Hip¬ pocrate â fait le mefme , fi nous adicmftons foy à lès eferits 14 ayant conuenu plufieurs fois auec les Mede ^ ÎVA'~ cinsGnidiens, Examinons la raifoo qui fortifie l’Au- €fJ' ihorite. RAISONS **• » de *v£3* * Hippocrate $z Galen onî conru!te comme îe viens ™' m de proouer , doncâ i’imitacion d’eux les Médecinsmmi* doiuent s’affembîer pour la confulte, la conlèquenee fe monftre en cette maniéré 2 le difciple ne peut auoic plus de prerogatiues que le maiftre,iS fufiu de l’imiter» ny le gentil-homme ne doit s’eftimer plus que ie Koy l’enfantdoit fuiure les traces de fon pere, ecluy qui re¬ çoit laîoy n’a pas plus de priuiîegeque le regifiatettr a & le foîdat ne peut auec iufiiee refufer daller à la méf¬ iée, & aux coups, fi le capitaine y va le premier la tefle baifiee: les Médecins qui fondes defeendans d’Hippo¬ crate & de Gaîen font les difciples de ces deux grands £n&tfhcs » les gentilshommes iuiuaos la Cour de eet