Volume 2

Élémens de médecine pratique de M. Cullen, M.D / Traduits de l'anglois sur la quatrième et dernière édition, avec des notes. Dans lesquelles on a refondu la nosologie du même auteur, décrit les différentes espèces de maladies, & ajouté un grand nombre d'observations qui peuvent donner une idée des progrès que la médecine a faits de nos jours. Par M. Bosquillon.

  • Cullen, William, 1710-1790.
Date:
1785-1787
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Credit: Élémens de médecine pratique de M. Cullen, M.D / Traduits de l'anglois sur la quatrième et dernière édition, avec des notes. Dans lesquelles on a refondu la nosologie du même auteur, décrit les différentes espèces de maladies, & ajouté un grand nombre d'observations qui peuvent donner une idée des progrès que la médecine a faits de nos jours. Par M. Bosquillon. Source: Wellcome Collection.

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    *7 S E C t I O N III. Des caufcs éloignées de V_'émorrh.idem J O O T j’ai jufqu’ici fpécialement confidéré îa difpofition à l’hémorrhagie ; mais ii dt a propos, & même nécefîaire de parler aufii des caufês occafionneltes, qt i iion-feuLinent concourent avec ia caufc prcdifpofante , à produire l'hémor- rhagie , mais même peuvent quelquefois en être les ficuLs cauies. 775. Ces caufes occasionnelles font : i°. La chaleur exrerne, qui, en raréfiant le fang , produit ou augmente l’état de pléthore du corps; de plus, la même chaleur, en (timulant tout le fyfieme, doit augmenter traites les determinations particulières qui exifloienta* ant, eu peut porter à i’exces quelque inég iité, q;:i n’auroit pas d’ailleurs été nuifible ; ainfi il eil pofiîbïê que la chaleur externe, en sgiffant de l’une ou l’autre manière. prodüiC r-r-le-champ des hémorrhagies, quand il exifie déjà une difpofition parti- culière, ou quelle forme de - conge fiions dans des cive toits où Hn’y en a voit pas , & par-là occafionne i’hémorrha :-ie. 2 . La diminution confia érable (k fia’ ue du poids le l ut- roofiph eau fie paroit produire les m.-ncs effets oue la chai air, en occafionnant auiii une ex panfion de fan * 30. Tout ce qui augmente la force de la circulation , oc par coméquent ia vélocité du fitng, peut agir dè ia même maiiiere-que !a chaleur, non-feulement en augmentant avec ~ *■ > vi r*1 j qmc runs îes exercices vioiens , & en particulier tous les efforts confidérables, qui non-feu- lement produifient une infpiration plus grande & olusloneue mais meme qui , en donnant lieu à i’aérion fimuitanée d’un ?r*î? 1 nomDrcc*e muficles, interrompent le libre mouvement cl j y do.s, ent le pouffer plus généralement avec une force extraoromaire dans les extrémités des vaifïeaux, Sc le déter- mi.xr, fut van» les différentes pofitions du corps, & la ma- niere dont s exécutent les efforts, à fe porter plus particn- Jicrement dans certains vaiffeaux. il faut mettre au nomore des caufes qui augmentent la Tome il.