Sales catalogue 573: Maggs Bros

Date:: 1932

Reference:: WA/HMM/CM/Sal/13/117

Catalogue details

Licence: Public Domain Mark

Credit: Sales catalogue 573: Maggs Bros. Source: Wellcome Collection.

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MAA ANWR seinime LE aie er eh eR Os —_—— 512 BEAUHARNAIS (HORTENSE DE, 1783-1837). Wife of Louis Bona- parte, King of Holland. Mother of Napoleon III. TWELVE AUTOGRAPH LETTERS, NINE SIGNED TO THE DUCHESSE DE RAGUSE. | 18 pp., 8vo. Augsburg, Rome, Arenenberg, 1821-1837. £21, A charming correspondence with an intimate friend on personal matters, showing the writer’s monetary difficulties, referring to her son and her husband, and mentioning her brother’s (Eugéne Beauhar- nais) death. Many letters deal with the necessity of her selling her jewels and collections which she had inherited from her mother, the Empress Josephine. Of her son she writes :— ‘‘ My dear child is fortunately well again; I hope that he at least will not prove a failure and that in him I may enjoy all that is sweet and pure without fear and trouble.” >13 BEAUHARNAIS (HORTENSE DE). AUTOGRAPH LETTER SIGNED ‘‘ HORTENSE ”’ (TO MADAME LUDKENS, NEE PAULINE RAYMOND). i-page, 8vo. The Hague, 20th April, 1807. £5 5s ‘‘ Bn relisant hier des lettres de mes anciennes amies de pension, je trouvals un plaisir extreme dans. |’assurance si souvent répété de lamitie de ma chere Pauline, et en la jugeant d’apres moi, je me suis persuadée qu’ elle ne pouvait pas étre changée, eb que les circonstamces seules avaient rompus une correspond- ence que le coeur ne peut pas avoir approuvé, je suis méme persuadée que ma chere Pauline m’a suivie de loin, qu’elle s'est toujours interessée a une destinée si extraordinaire, et que me connaissant bien elle a du partager les divers sensa- tions que j’ai du éprouver.’’ Kite. 514 BEAUHARNAIS (HORTENSE DE). AUTOGRAPH LETTER SIGNED (INITIAL) TO DUGHESSE D’ ABRANTES. 3 pages, 8vo. 25th October, 1832. £2 15s A friendly letter mentioning her son, Napoleon III. «| «Je n’y vois rien qui mérite la louange, je pourrois ayoir le mérite auprés du gouvernement francois lorsque je fus forcée pour, Ssauver mon fils, de passer par Paris et que je donnai ma parole d’y rester inconnue. Je pourrois avoir le mérite d’y avoir été fidele lorsque au méme moment Je savois guon me feroit banqueroute de 500 cent mille francs dont j’aurols pu sauver quelque chose en me montrant. Le revenu de ce capital servoit a payer mes pensions; & present je dois chercher a y supléer. Je reste 4 ma campagne !’hiver ; et j’offre mes romances & qui les voudra. Rien n’est plus simple, je trouve méme le prix de 500 franes bien élevé, d’autant plus que je ne suis auteur que de la musique. Quant a livrer un ouvrage de moi, je n’oserois jamais me donner en public.”? Ete.