A dissertation on oriental gardening / By Sr. William Chambers.

  • Chambers, William, Sir, 1723-1796.
Date:
1773
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Credit: A dissertation on oriental gardening / By Sr. William Chambers. Source: Wellcome Collection.

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    derer comme un recueil d’experiences philofophiques prefentees' d’une maniere plus forte & plus favante, 6c developpees fur une plus grande echelle que dans la methode commune. Sous ce point de de vue ils penfent que les gens meme les plus fenfes peuvent s’en occuper fans faire tort a leur jugement, qu'ils peuvent admirer cc qu’elles ont de neuf, d’ingenieux, d’extraordinaire, 5c y contempler avec furprife ce qu’ils ne comprennent pas. II ne m’appartient pas dc decider lequel a plus grand tort ou des Connaiffeurs ou des Artiftes, c’eft a vous, Meffieurs, de confulter la-deffus votre gout 5c vos lu- mieres 5 vous trouveriez deplace fans doute qu’un accufe devant fes juges ofat prononcer pour eux, Quelques expreffions un peu libres relativement a vos Jardiniers, forment une partie tres grave de l’accufation qui m’eft intentee. Pour attenuer cette enorme offenfe il parait done neceffai-re de de- 0 clarer que tout ce que j’ai dit a cet egard a pour objet le caradtere general de la Jequelle (car il faut fe fervir du mot) 5c ne s’addreffe en aucune maniere a ce joli Monfieur que vous voyez la en grande perruque noire, ainfi qu’il juge a propos de le foutenir. Je ne devais defigner perfonne ni pat des louanges exceffives auxquelles on s’attendait peut-etre, ni par une cenfure piquante; ce n’etait point mon affaire, 5c ce ne pouvait pasl’etre. Une telle conduite eut ete rampante dans le premier cas, offenfante dans le fecond 6c * odieufe dans tous les deux ; car on ne peut exalter un pheno- mene fans deprimer les autres dans la meme proportion. Cell ainfi