Examen de l'Examen de M. Broussais, relativement à la phthisie et à l'affection typhoïde / par E. Ch. A. Louis.

  • Louis, P. C. A. (Pierre Charles Alexandre), 1787-1872.
Date:
1834
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Credit: Examen de l'Examen de M. Broussais, relativement à la phthisie et à l'affection typhoïde / par E. Ch. A. Louis. Source: Wellcome Collection.

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    loi est bien établie, il faut conclure rigoureu- sement d’après cette loi , et considérer comme ! f[ exactes les conséquences qui en dérivent , quel- i que inattendues qu’elles soient : car ces consé- I quences, si elles sont rigoureuses , ne sauraient ( être fausses. il M. Broussais me reproche ensuite (358) d’avoir | ;dit que les tubercules sont à peu près sans in- fluence sur le développement de la pneumonie ( dans la dernière période de la phthisie. Mais de quelle autre expression pouvais-je meservir, ajant rencontré la pneumonie dans la dernière période de toutes les maladies chroniques^ et seulement un peu plus fréquemment chez les phthisiques , que chez ceux qui succombent à d’autres affections également lentes dans leur marche? D’ailleurs j’ai compté, et si l’expression que j’ai employée n’est ; pas exacte, on peut aisément larectifier. (L. 37,39.) Une des lois les plus remarquables auxquelles l’observation m’a conduit, est relative aux ulcé- rations de l’épiglotte , du larynx et de la trachée- artère, que je n’ai rencontrées , dans le cours des alFections chroniquesj que chez les phthisiques. 3 ai du les considérer , par cette raison, comme I propres, dans les maladies chroniques, à la phthi- sie. Car, si de loin en loin on rencontre de petites ulcérations au larynx chez les pneumoniques; si 'l’on trouve fréquemment l’épiglotte parlielle-