Trois cas d'émasculation de la verge / par J. Pantaloni.

  • Pantaloni, J.
Date:
[1898?]
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Credit: Trois cas d'émasculation de la verge / par J. Pantaloni. Source: Wellcome Collection.

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    tout nécessaire de placer des ligatures nombreuses : ce qui, au voisi¬ nage du passage de burine, peut retarder la cicatrisation et la guéri¬ son, à cause delà contamination possible des quelques fils à ligatures. ou de! Presque tous les autres chirurgiens, au contraire, (Annandale, Jackson, Albarran, Bazy, Clialot, Itubio, etc.) ont pratiqué la ligature des vaisseaux. Pour nous, nous nous permettons cependant de recom¬ mander la torsion, qui nous a trois fois réussi. Chalot, dans son second cas, Albarran, Pétouraud, entr’autres, ont eu recours, pour arrêter l’hémorrhagie à l’emploi de pinces à demeure (forcipressure. définitive). Il est probable que, s’ils se sont résolus à cette manière deprocéder, c’est parce qu’il leur fut impossible de faire tenir une ligature sur les vaisseaux sectionnés. Mais, selon nous, ce moyen est le dernier auquel on doive avoir recours, car, évi¬ demment, il empêche la réunion immédiate dans les points où des pinces ont été placées. Pour le suintement sanguin, qui se produit, en particulier au niveau des corps caverneux, lorsqu’on ne les enlève pas complètement, M. Forgue a eu recours à une petite manœuvre, qui réussit très bien dans les amputations de la verge. Pour arrêter l’hémorrhagie, il a affronté, par quelques points de suture, les parois opposées des enveloppes fibreuses des corps caverneux, déterminant ainsi l’hémostase par com¬ pression indirecte des vaisseaux, c’est-à-dire par une variété spéciale de filo-pressure. Notre crin de Florence profond joue à peu près le même rôle, Quand la surface de section des parois de l’urèthre saigne trop abon¬ damment, il suffit également de multiplier les points de suture qui doivent la réunir à la peau. Cette filo-pressure type réussit toujours. IV. — INDICATIONS. Comme nousl avons lait remarquer, les indications de cette opéra¬ tion sont très nettes. On doit y recourir indiscutablement toutes les fois que la verge est atteinte à son origine, dans la profondeur, c’est-à-dire lorsque la racine des corps caverneux est malade. (Cas de Paci, Mori- sani Bazy, Albarran, Pétouraud, Pantaloni [Cas II et III]). Dans ces con îtions, en effet, 1 amputation classique de la verge serait insuffi ¬ sante , il faut aller plus loin et enlever les corps caverneux. Il en est, a fortiori, de même, quand le scrotum est atteint (Cas de Jackson), soit seul soit concurremment avec les testicules (Chalot [Cas I], Forgue, antaloni [Cas I], Annandale, Péan, Chalot [Cas I]). ans ces faits, on a presque toujours affaire à un cancer de la verge Mai des c£ effet, totale tente! ratioi • Qu ■ pour dent I vergi I Di I vergi I dune B prés car,] lemp rieui rage par leur rapt vite eus l’an jan les piri u