An analytical inquiry into the specifick property of mercury, relating to the cure of venereal diseases. Wherein is explained, I. The nature ... and choice of preparations. II. The necessary cautions ... III. The true generation and nature of the virus. IV. The variety of its symptoms in different climates ... V. The ill consequences of a bad practice ... VI. An answer is given to several objections ... VII. Dr. Chicanneau's method of curing this distemper without salivation is vindicated ... / [Vincent Brest].

  • Brest, Vincent
Date:
1732
Catalogue details

Licence: Public Domain Mark

Credit: An analytical inquiry into the specifick property of mercury, relating to the cure of venereal diseases. Wherein is explained, I. The nature ... and choice of preparations. II. The necessary cautions ... III. The true generation and nature of the virus. IV. The variety of its symptoms in different climates ... V. The ill consequences of a bad practice ... VI. An answer is given to several objections ... VII. Dr. Chicanneau's method of curing this distemper without salivation is vindicated ... / [Vincent Brest]. Source: Wellcome Collection.

    10/48
    ■i rurgie, les quels accourent de toutes parts, pour pu- iiler ks Sciences et Jes Arts, qui decoulent Ians cdse de Voftre CeJebre Univerfite. Ceft, Monfieur, dans cette illuftre Ecole, ou Ton a regarde avec etonneinent Voftre Eloquence natu- relle, Voftre Attache particuliere pour toutes les de- ni onft ratio ns des Plantes, Votre Science profonde dans les Anatomies publiques, Vos Soins infatigables et fans Exemple a former et le Medecin et le Chirur- glen, par des principes d5 une Pratique univerfelle- ment approvee de tous les Scavants. Ceft encore Ja, ou Ton a admir£ Voftre Charite vigilante, et fans Egale, a fecourir les habitans de Marfeille, et les peuples voifins, affiigez du fleau de la Pefte, et cette Humanite Chretienne envers les Pauvres, qui Vous les a fait regarder auffi favorablement que les BJches. Ce font, Monfieur, toutes ces Eminen- ces Qualites, que tout le Monde connoit en Vous, et les rares Vertus, qui Vous ont eleve a la Charge de premier Medecin aun des plus grands mo- narques de PEurope: Employ veritablement du a Votre Me-rite; et qui ne pouvoit etre moindre, a fin de calmer les gemiftemens finceres et de conloler Vos chers Concitoiens affiigez de Voftre depart. Que le Ciel, Monfieur, Vous fafife jouir, auffi Jong terns, que Vous le defirez, du jufte choix que fon a faitjde Voftre illuftre Peribnn^s«fc«pMiir Ce Sont l£s Voeux fi$rcere$3 •que ffi'ft tires refpedtueuiement, ■ ' n‘U *•' :v' t •; * . , ... Monfieur,