Die Bindehaut der Hornhaut und der Greisenbogen : Inaugural-Dissertation der hochlöbl. medicinischen Facultät zu Heidelberg vorgelegt / von Julius Arnold.

  • Arnold, Julius, 1835-1915.
Date:
1860
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Credit: Die Bindehaut der Hornhaut und der Greisenbogen : Inaugural-Dissertation der hochlöbl. medicinischen Facultät zu Heidelberg vorgelegt / von Julius Arnold. Source: Wellcome Collection.

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    <lu sang enccphalique : c'etait vraisemblablemcni. 1(3 cas pour les observaiions de MM. Wallinann (XXVI) et Kulil (XIII p. 24); il y est dit que les convulsions ccsscrcnt au boul de peu de lemps : sans doule sous l'influence du relablissernent regulier de la circulalion. L'elude des faits d'obluralion enibolique de la carotide ce- rebrale ou de rarlöre sylvienne prouve d'ailleurs que l'ane- inie isolee des heniispheres produit loujours des paralysies, et non des convulsions. Les experiences des auteurs alle- mands que nous venons de eiler l'ournissenl la contre-partie de CCS rcsultals d'observation palhologique; nons n'en dirous que quelques niols (1). Dans le bul de delerminer le ccnlre premier nioieur des convulsions epilepliformes conseculives ä la suppression de la circulalion arterielle encephalique ou ä l'anemie par hemorrhagie (voy. p. 14), ils onl, cliez des lapins, lie les arteres du cou ou produit des bemorrhagies, apres avoir prealablemenl enleve des parlies plus ou moins cousiderables de la masse encephalique. La Force des con- vulsions n'etail ätienuee notablemeni, que du momeni oü l'on s'altaquaii aux parties du inesocephale situees en arriere des couches opliques; les hemispheres, le corps calleux,la voüte, la commissure anterieure, les corps slries, les parties super- licielles des couches opliques elles-memes, pouvaient etre enlev^s impunement. D'aulres experiences elablissenl que c'est bien dans l'encephale uniquement que reside, chez le lapin, le principe de ces convulsions, et que la moelle. coii- irairement ä ce que pensail Marshall Hall, ne üül que coa- duire ä la peripherie les incitalions parlies du centre. II resulle cependant des reclierches de M. Brown-Se- quard (2) que, chez d'aulres animaux ä sang chaud, des convulsions peuvent avoir lieu, lorsque la moelle cesse su- bitement de recevoir du sang, surtout si eile est separee de l'enccphale dans sa parlie loute superieure. Cet auleur re- (t) Küssmaul el Tenner, ouv. eil. p. 7-90. ('•2; Brown-Scqiiard, joiD-nn/rfe p/ii/«w/offi>, ein p -20^.