Méthode curative externe des douleurs rhumatismales, goutteuses, nerveuses, des maladies de la circulation lymphatique, et des viscéralgies, affections nerveuses des viscère, confondues avec les phlegmasies chroniques et les lésions organiques : diachirismos de médicamens simples pour le traitement des maladies / par le Docteur C.J.B. Comet.

  • Comet, C. J. B. (Charles Jean Baptiste), 1796-1870.
Date:
1838
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Credit: Méthode curative externe des douleurs rhumatismales, goutteuses, nerveuses, des maladies de la circulation lymphatique, et des viscéralgies, affections nerveuses des viscère, confondues avec les phlegmasies chroniques et les lésions organiques : diachirismos de médicamens simples pour le traitement des maladies / par le Docteur C.J.B. Comet. Source: Wellcome Collection.

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    assertion en faisant remar que r qu’il ne se manifeste jamais de lluimatisme dans les parties paralysees, & cause de l’abolition des fonctions des nerfs. 5° Que les articulations sont entierement compo- sees de tissus fibreux, cartilagineux, membraneux et ligamenteux, qui sont naturellement peu sensibles et constamment abreuves de fluides blancs. L’inflam- mation s’y developpetres diflicilement, parce quelle n y a point d’aliment naturel (le fluide sanguin). Ce- pendant les affections des articulations sont extreme- ment douloureuses; et a quoi done attribuer les de- sordres qui se manifestent dans les acces de goutte et les rhumatismes articulaircs, si ce n’est au trouble et a Talteration de la circulation lymphatique, qui est, pour ainsi dire, le seul phenomene vital appre- ciable dans toutes les regions arliculaires ? 4° Enfin l’experience a prouve que les evacuations sanguines et un traitement debilitant sont plutot eontraires que favorables ala guerison des affections rhumatismales, goutteuses etnerveuses. II faut done reconnaitre, car il n’est plus permis d’en douter, que les douleurs permanentes et intermittentes qui se manifestent dans ces maladies ne resultent pas dune inflammation des tissus, mais bien d’un trou- ble constant ou accidentel de la circulation lympha- tique ou nerveuse. Les succes que nous obtenons paiTemploi de notre procede, justifient cette opinion qui n’est pas theorique, mais pratique, et qui est generalement celle des medecins observateurs. Com- ment n’en serait-il pas ainsi, quand nous pouvons citer a l’appui dece que nous avancons des guerisons *