Méthode curative externe des douleurs rhumatismales, goutteuses, nerveuses, des maladies de la circulation lymphatique, et des viscéralgies, affections nerveuses des viscère, confondues avec les phlegmasies chroniques et les lésions organiques : diachirismos de médicamens simples pour le traitement des maladies / par le Docteur C.J.B. Comet.

  • Comet, C. J. B. (Charles Jean Baptiste), 1796-1870.
Date:
1838
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Credit: Méthode curative externe des douleurs rhumatismales, goutteuses, nerveuses, des maladies de la circulation lymphatique, et des viscéralgies, affections nerveuses des viscère, confondues avec les phlegmasies chroniques et les lésions organiques : diachirismos de médicamens simples pour le traitement des maladies / par le Docteur C.J.B. Comet. Source: Wellcome Collection.

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    — 10! — dans dcs termes qui nous ont d’autaut plus flall6 queces recueils de la science se disliuguent par la sobri6l0 de leurs eloges tou- jours motives. Nous devons done faire tons nos efforts pour voir s’accomplir unerCforme qui touche a de si grands iutOr^ls; aussi nous ferons-uous un devoir et un plaisir de transmetlre a nos confreres eloigu6s de la capitale tous les renseignemenspratiques qu’ils pourraient d6sirer; il suffira qu’ils nous en fassent la de- mande par lellres affranchies. Pour juslifier les esp6rauces que nousexprimons, qu’il noussoit permis de publier ici les opinions qui nous ont Ole manifestoes par Ocrit el qui ont 010 spOcialement molivOes par d’illustres praticiens. Elies feront d’ailleurs connatlre dans quels rapports d'estime nous nous trouvons placO parmi nos confreres. A M. LE DOCTEUR COMET. Paris, 20 janvier 1836. Monsieur, Vons avez raison , en principe : il serait bon d'administrer toujours les medicamens dans leur Otat de simplicity pour mieux juger de leurs effets, et pour eviler l’alteration qui resulte des myianges. Quant a la concentration que vous proposez de faire subir aux medica- mens, pour pouvoir compter sur une action plus grande et plus cons- tante, je suis entierement de votre avis, et en precisant mieux qu’on ne l’a fait, jusqu’a la quantity des parties actives, vous donnez certainement a la therapeutique une base plus solide. Au surplus, je desire, monsieur, que vos vues soient ecoutees par les hommes capables de les juger et de les apprecier, et qu’elles soient adop- tyes dans la pratique pour la plus grande gloire de la mydecine. Agreez, je vous prie, l'assurance de la consideration tres distinguee que vous m’avez inspirye , FOUQUIER , Professeur a la Facullc de Medecine , medecin de I'hopital de la Charite. Mon cher confrere, Le travail que vous venez de publier sous le litre de Diachirismos, me parait d’une grande utility pour rendre plus facile 1’art de preparer et de doser les medicamens simples; je l’ai lu avec plaisir et interet, et il m’en est resle cette conviction, que vous oflrez un moyen sur de remplir exac- tement les formules dans lesquelles entrent des substances tres actives qu’on ne prescrit que par fractions, en meme temps que vous mettez les praticiens des peliles villes, et surtout des campagnes, ou des pharma- ciens instruits ne sont pas toujours ytablis, a portee de pryparer eux-