De l'embryothlasie et en particulier de la céphalotripsie : thèse présentée à la Faculté de médecine de Strasbourg et soutenue publiquement le samedi 22 août 1863, à 3 heures, pour obtenir le grade de docteur en médecine / par J.F. Édouard Lauth.

  • Lauth, J.F. Édouard.
Date:
1863
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Credit: De l'embryothlasie et en particulier de la céphalotripsie : thèse présentée à la Faculté de médecine de Strasbourg et soutenue publiquement le samedi 22 août 1863, à 3 heures, pour obtenir le grade de docteur en médecine / par J.F. Édouard Lauth. Source: Wellcome Collection.

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    termina w\\.}a i? Par la perfora tiç n,|, n éa nrnoi n rs, 1 ^ #fPl; ce (^^iqrjp^ru^^ti.a^ï}^Jft,tgfeJpî^qji^ ^excérébration fut ren- due plus complète. .uoüLo: Il ne nous reste plus qu’à signaler les deux observations de Kilian et de Haake (184 et 185). Dans la première, après l’emploi du cépha- lotribe on abandonna le fœtus dans la matrice aux contractions uté- rines et au ramollissement putride; dans le second on termina avec le céphalotribe ce que l’on avait commencé avec le crânioclaste. Nous ne saurions porter de jugement sur les trois cas de Leiimann où les couches ne furent troublées par aucun incident, car nous man- quons complètement de détails. Ainsi nous avons un certain nombre de cas où les circonstances ont été défavorables, et où cependant la femme ne ressentit pas la moindre incommodité pendant ses couches (longueur du travail, multiplicité des manœuvres, glissement des instruments etc.). Qu’on ne nous ac- cuse pas pour cela d’inconséquence pour avoir attribué à ces mêmes éléments la production des phénomènes morbides qui se sont mani- festés pendant les couches. En obstétricie comme en médecine il y a ,rli9rnirncni'B airqy/l . ».l ln -i . ut plus de pajqpqs ^re^ÿa^tes que de causes efficie^^..ejtdpnt 1 action devieo&ZMVitablfajQnj&e saurait prévoir ce qui adviendrait si les ma- lades ne pouvaient jamais échapper à l’influence pernicieuse des mi- lieux qui les entourent et s’ils étaient toujours victimes des circonstances défavorables où ils sont placés. Nous terminons ici le travail que nous avons entrepris. Nous sommes loin de nous dissimuler qu’en bien des endroits il présente des lacunes, en d’autres des longueurs. Savoir être à la fois complet et concis, c’est évidemment beaucoup plus qu’on ne peut nous demander au début de notre carrière. Trop heureux si nous avons pu être utile en rappelant les principales idées qui ont été émises sur la question que nous avons étudiée, et en cherchant à faire profiter de la conduite des maîtres.